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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:67027book20121960.<br />
Mon histoire a un début qui commence bien. Je suis en classe de seconde au lycée de Sèvres.<br />
Je vais avoir 17 ans.<br />
C'est l'époque des flippers, de la conquête de l'espace, du rock and roll et des premiers pick-up.<br />
La guerre d'Algérie nous suit depuis l'école primaire, et plus ça va, plus elle est partout. (source : quatrième de couverture).<br />
1962, après 8 ans de guerre, l’indépendance de l’Algérie devient inéluctable. L’OAS, regroupant dans ses rangs les fervents défenseurs du dernier bastion d’un empire colonial agonisant, multiplie les attentats à la bombe sur la capitale. Le 8 février, après 14 attentats, dont un blessant grièvement une petite fille de quatre ans, des manifestants se regroupent dans Paris aux cris de "OAS assassins", "Paix en Algérie". La manifestation organisée par les syndicats est interdite par le préfet Maurice Papon. La répression est terrible. La police charge avec une violence extrême. Prise de panique, Maryse se retrouve projetée dans les marches du métro Charonne, ensevelie sous un magma humain, tandis que des policiers enragés frappent et jettent des grilles de fonte sur cet amoncellement de corps réduits à l’impuissance. Bilan de la manifestation : 9 morts, dont un jeune apprenti, et 250 blessés. 50 ans plus tard, Maryse Douek-Tripier, devenue sociologue, profondément marquée par ce drame dont elle est sortie miraculeusement indemne, livre son témoignage à Désirée Frappier1 vol. (136 p.) : ; 26 cm. ; tout en ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul. ;Bandes dessinéesAlgérieParis (France)Paris (France)Frappier, DésiréeFrappier, AlainStora, BenjaminABES
1 vol. (136 p.) : ; 26 cm. ; tout en ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul.
Notes :
Contient en annexes des reproductions de documents d'époque.
Résumé éditeur :
1960.<br />
Mon histoire a un début qui commence bien. Je suis en classe de seconde au lycée de Sèvres.<br />
Je vais avoir 17 ans.<br />
C'est l'époque des flippers, de la conquête de l'espace, du rock and roll et des premiers pick-up.<br />
La guerre d'Algérie nous suit depuis l'école primaire, et plus ça va, plus elle est partout. (source : quatrième de couverture).<br />
1962, après 8 ans de guerre, l’indépendance de l’Algérie devient inéluctable. L’OAS, regroupant dans ses rangs les fervents défenseurs du dernier bastion d’un empire colonial agonisant, multiplie les attentats à la bombe sur la capitale. Le 8 février, après 14 attentats, dont un blessant grièvement une petite fille de quatre ans, des manifestants se regroupent dans Paris aux cris de "OAS assassins", "Paix en Algérie". La manifestation organisée par les syndicats est interdite par le préfet Maurice Papon. La répression est terrible. La police charge avec une violence extrême. Prise de panique, Maryse se retrouve projetée dans les marches du métro Charonne, ensevelie sous un magma humain, tandis que des policiers enragés frappent et jettent des grilles de fonte sur cet amoncellement de corps réduits à l’impuissance. Bilan de la manifestation : 9 morts, dont un jeune apprenti, et 250 blessés. 50 ans plus tard, Maryse Douek-Tripier, devenue sociologue, profondément marquée par ce drame dont elle est sortie miraculeusement indemne, livre son témoignage à Désirée Frappier