La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:397entry20168 avril 2016Institut du Monde Arabe - ParisRobert Castel est né à Alger. C'est un enfant de Bab-El-Oued. Il est le fils de Lili Labassi, l'un des plus grands maîtres du chaâbi. Dans le ventre de sa mère, il a dû entendre son père jouer du violon et chanter. Dès lors, la drogue bienfaisante de la musique était inoculée dans son ADN. Il commence à jouer du tar (tambourin) à l'âge de cinq ans. Il monte sur scène dès ses 11 ans. Il faisait alors partie de l'orchestre de Radio-Alger où les musiciens accompagnateurs de Lili Labassi s'appelaient Mustapha Scandrani, Ali Debbah dit Aalilou, Mohamed El Anka, Abdelghani Belkaïd ou Kadour Cherchali. Robert Castel enregistra avec son père de nombreux disques.Pour faire vite, disons que la Providence, imprévisible, lui dressa un pont pour faire du théâtre, du cinéma, de la télévision, de la radio et du music-hall. Il joua avec les plus grands : Alain Delon, Jean Gabin, Michel Bouquet, Micheline Presle, Jean Poiret, Charles Vanel, Michel Galabru ou encore Annie Girardot. Il eut la douleur de perdre son père en 1969. Par un mouvement irrésistible, il revint alors à son premier amour : la musique, dont il affirme qu'elle est sa deuxième religion, et plus particulièrement la musique chaâbi. Avec l'orchestre El Gusto, il donna des concerts en France, à Bruxelles, à Amsterdam, Fès, puis aux États-Unis à New York, Washington et Los Angeles, et enfin à Alger pour deux dates en avril 2015.Aujourd'hui, le voici accompagné de quatre talentueux musiciens : Mohamed Abdenour dit P'tit Moh (mandole, guitare, banjo), Smaïn (piano), Ali Bensadoun (nay) et Nacer (percussions). Maintenant, la parole est à la musique.chaâbimusiqueviolonAlger, AlgérieNacerFrançaisRAZUNA
8 avril 2016Institut du Monde Arabe - ParisRobert Castel est né à Alger. C'est un enfant de Bab-El-Oued. Il est le fils de Lili Labassi, l'un des plus grands maîtres du chaâbi. Dans le ventre de sa mère, il a dû entendre son père jouer du violon et chanter. Dès lors, la drogue bienfaisante de la musique était inoculée dans son ADN. Il commence à jouer du tar (tambourin) à l'âge de cinq ans. Il monte sur scène dès ses 11 ans. Il faisait alors partie de l'orchestre de Radio-Alger où les musiciens accompagnateurs de Lili Labassi s'appelaient Mustapha Scandrani, Ali Debbah dit Aalilou, Mohamed El Anka, Abdelghani Belkaïd ou Kadour Cherchali. Robert Castel enregistra avec son père de nombreux disques.Pour faire vite, disons que la Providence, imprévisible, lui dressa un pont pour faire du théâtre, du cinéma, de la télévision, de la radio et du music-hall. Il joua avec les plus grands : Alain Delon, Jean Gabin, Michel Bouquet, Micheline Presle, Jean Poiret, Charles Vanel, Michel Galabru ou encore Annie Girardot. Il eut la douleur de perdre son père en 1969. Par un mouvement irrésistible, il revint alors à son premier amour : la musique, dont il affirme qu'elle est sa deuxième religion, et plus particulièrement la musique chaâbi. Avec l'orchestre El Gusto, il donna des concerts en France, à Bruxelles, à Amsterdam, Fès, puis aux États-Unis à New York, Washington et Los Angeles, et enfin à Alger pour deux dates en avril 2015.Aujourd'hui, le voici accompagné de quatre talentueux musiciens : Mohamed Abdenour dit P'tit Moh (mandole, guitare, banjo), Smaïn (piano), Ali Bensadoun (nay) et Nacer (percussions). Maintenant, la parole est à la musique.