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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:287entry2014Parler de « Coptes d'Égypte », c'est déjà risquer un pléonasme : les deux mots sont issus du grec Aigyptos par lequel les Anciens désignaient le pays. Avec ces chants, l'Institut Didymos et l'Institut copte du Caire nous offrent un « aperçu » de l'authentique tradition musicale d'une des principales Églises d'Orient, telle qu'on la pratique aujourd'hui, loin des mystères pharaoniques dont elle fut souvent entourée.<br />
Le chant occupe une place essentielle dans la liturgie copte orthodoxe et se décline en plusieurs genres : les hymnes, aux formes textuelles et mélodiques simples, les cantillations des grands textes et les incantations du prêtre, les madih et les tassabih (louanges aux saints). Tous ces chants sont en arabe ou en copte. Les uns, syllabiques, sont rigoureusement scandés, le chantre pouvant rester de longues minutes sur une seule et même voyelle ; les autres sont librement ornementés. Interprétées souvent a cappella, les vocalises sont parfois accompagnées de percussions, principalement cymbales et triangle, entre les mains des diacres et du chantre.<br />
Un spectacle coproduit par l'Institut du monde arabe et la Maison des cultures du monde dans le cadre du 18e Festival de l'Imaginaire.<br />
28 et 29 mars 2014<br />
Institut du monde arabe - ParisCopteschantchantresmusiqueÉgypteChantres de l'Institut Didymos d'Assiout et de l'Institut d'Études Coptes du CaireAnglaisFrançaisRAZUNA
Parler de « Coptes d'Égypte », c'est déjà risquer un pléonasme : les deux mots sont issus du grec Aigyptos par lequel les Anciens désignaient le pays. Avec ces chants, l'Institut Didymos et l'Institut copte du Caire nous offrent un « aperçu » de l'authentique tradition musicale d'une des principales Églises d'Orient, telle qu'on la pratique aujourd'hui, loin des mystères pharaoniques dont elle fut souvent entourée.<br />
Le chant occupe une place essentielle dans la liturgie copte orthodoxe et se décline en plusieurs genres : les hymnes, aux formes textuelles et mélodiques simples, les cantillations des grands textes et les incantations du prêtre, les madih et les tassabih (louanges aux saints). Tous ces chants sont en arabe ou en copte. Les uns, syllabiques, sont rigoureusement scandés, le chantre pouvant rester de longues minutes sur une seule et même voyelle ; les autres sont librement ornementés. Interprétées souvent a cappella, les vocalises sont parfois accompagnées de percussions, principalement cymbales et triangle, entre les mains des diacres et du chantre.<br />
Un spectacle coproduit par l'Institut du monde arabe et la Maison des cultures du monde dans le cadre du 18e Festival de l'Imaginaire.<br />
28 et 29 mars 2014<br />
Institut du monde arabe - Paris
Intervenants :
Chantres de l'Institut Didymos d'Assiout et de l'Institut d'Études Coptes du Caire