La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:69881film200uIndiqué sur la jaquette : L'islam a su intégrer d'antiques cosmogonies africaines. Dans les confréries gnaouas du Maroc, le mariage du visible et de l'invisible, la communication entre le monde des génies et celui des humains, est célébré au cours de la "lila", à la fois rite de fécondité et transe thérapeutique. Pierre Guicheney réussit une belle et patiente approche de l'univers spirituel gnaoua. A Marrakech, la musique et les chants gnaouas qui animent la place Djema El Fnaa ont aussi une fonction sacrée. Descendants d'esclaves, les Gnaouas ont mémorisé au cours d'une longue initiation le rituel chanté et dansé qui accompagne la "lila". Crotales, tambours et "guembri", une guitare-tambour à trois cordes, sont au centre de la cérémonie. Ahmed, maître de confrérie, prépare une "lila" commandée par un village voisin. L'encens acheté au souk est la nourriture des génies. Le sang d'un bélier met en communion les vivants et les morts. La première étape de la "lila" est un repas accompagné de chants et de danses de purification. L'entrée d'une procession de jeunes vierges et des tambours annonce le monde de l'invisible. Les génies répondent à l'appel des gnaouas, couleur par couleur, blanc, noir, bleu, rouge, vert et jaune, tandis que les initiées s'abandonnent aux mouvements hypnotiques de la transe. La "lila" s'achève à l'aube par une danse de tous les participants.1 DVD (50 min) : ; coul., son., surround.Films documentairesDVDGnawaMarrakech (Maroc)Musique gnawahMarrakech (Maroc)Guicheney, PierreGuicheney, PierreCentre national de la cinématographie et de l'image animée [distrib.],Images de la culture. MusiqueABES
Cop. : Les Films du Village ; TLT, 1999.. Format image : 4/3.
Résumé éditeur :
Indiqué sur la jaquette : L'islam a su intégrer d'antiques cosmogonies africaines. Dans les confréries gnaouas du Maroc, le mariage du visible et de l'invisible, la communication entre le monde des génies et celui des humains, est célébré au cours de la "lila", à la fois rite de fécondité et transe thérapeutique. Pierre Guicheney réussit une belle et patiente approche de l'univers spirituel gnaoua. A Marrakech, la musique et les chants gnaouas qui animent la place Djema El Fnaa ont aussi une fonction sacrée. Descendants d'esclaves, les Gnaouas ont mémorisé au cours d'une longue initiation le rituel chanté et dansé qui accompagne la "lila". Crotales, tambours et "guembri", une guitare-tambour à trois cordes, sont au centre de la cérémonie. Ahmed, maître de confrérie, prépare une "lila" commandée par un village voisin. L'encens acheté au souk est la nourriture des génies. Le sang d'un bélier met en communion les vivants et les morts. La première étape de la "lila" est un repas accompagné de chants et de danses de purification. L'entrée d'une procession de jeunes vierges et des tambours annonce le monde de l'invisible. Les génies répondent à l'appel des gnaouas, couleur par couleur, blanc, noir, bleu, rouge, vert et jaune, tandis que les initiées s'abandonnent aux mouvements hypnotiques de la transe. La "lila" s'achève à l'aube par une danse de tous les participants.