La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
Dans l'ombre d'une guerre ; Une histoire secrète du conflit franco-algérien / ; Sallah Laddi, réal. ; Sallah Laddi, Linda Amiri, scénario ; Nessim Bismuth, musique et voix parlée ; Benjamin Stora, Ali Haroun, Gilbert Meynier [et. al], participant.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:125595film2014Le 22 octobre 1956, quatre chefs historiques du FLN, dont Ahmed Ben Bella, quittent Rabat pour Tunis à bord d’un avion de ligne. Ils s’apprêtent à négocier l’indépendance de l’Algérie de concert avec celle du Maroc et de la Tunisie. L’Etat-major français en Algérie saisit l’occasion de les capturer en détournant le vol sur Alger. Bien que détenus en France, ils demeurent la tête politique du FLN, aussi est-ce avec eux que le pouvoir gaulliste conclura en 1962 les accords d’Evian. Quelles autorités civiles couvrent les militaires ? Pourquoi les captifs échappent-ils à la guillotine ? Comment se déroulent leurs six années de détention ? Pourquoi deviennent-ils les artisans de la paix ? Le film enquête d’abord sur cet acte improvisé de piraterie aérienne destiné à ruiner les chances d’une paix négociée. S’il recourt à des comédiens pour faire vivre la narration, il s’appuie aussi sur des témoignages de première main. Ainsi de ces avocates courageuses qui, par une "défense de rupture", changèrent les prétoires en tribunes. Ou de cet ex-dirigeant de la fédération de France du FLN qui importa en métropole une stratégie terroriste réprouvée par Ben Bella. Plusieurs historiens éclairent les ambiguïtés françaises tant sous la IVe que sous la Ve République. Ben Bella devint le premier président de la République algérienne mais, à l’instar de ses codétenus, il fit les frais des luttes au sein du FLN, un parti trempé dans la violence extrême d’une guerre prolongée. (Eva Ségal) [source : jaquette]1 DVD (52 min) : ; coul. (PAL), sonore (Stéréo)DocufictionsFilms documentairesAlgérieAït-Ahmed, HocineBin Billaẗ, AḥmadKhider, MohamedLaddi, SallahAmiri, LindaDazi, SlimaneEl Mellouhi, NiddalAnekdota productions,ABES
Contient des images d'archives en noir et blanc.. Film documentaire.. Format image : 16/9 compatible 4/3.. Version originale française.
Résumé éditeur :
Le 22 octobre 1956, quatre chefs historiques du FLN, dont Ahmed Ben Bella, quittent Rabat pour Tunis à bord d’un avion de ligne. Ils s’apprêtent à négocier l’indépendance de l’Algérie de concert avec celle du Maroc et de la Tunisie. L’Etat-major français en Algérie saisit l’occasion de les capturer en détournant le vol sur Alger. Bien que détenus en France, ils demeurent la tête politique du FLN, aussi est-ce avec eux que le pouvoir gaulliste conclura en 1962 les accords d’Evian. Quelles autorités civiles couvrent les militaires ? Pourquoi les captifs échappent-ils à la guillotine ? Comment se déroulent leurs six années de détention ? Pourquoi deviennent-ils les artisans de la paix ? Le film enquête d’abord sur cet acte improvisé de piraterie aérienne destiné à ruiner les chances d’une paix négociée. S’il recourt à des comédiens pour faire vivre la narration, il s’appuie aussi sur des témoignages de première main. Ainsi de ces avocates courageuses qui, par une "défense de rupture", changèrent les prétoires en tribunes. Ou de cet ex-dirigeant de la fédération de France du FLN qui importa en métropole une stratégie terroriste réprouvée par Ben Bella. Plusieurs historiens éclairent les ambiguïtés françaises tant sous la IVe que sous la Ve République. Ben Bella devint le premier président de la République algérienne mais, à l’instar de ses codétenus, il fit les frais des luttes au sein du FLN, un parti trempé dans la violence extrême d’une guerre prolongée. (Eva Ségal) [source : jaquette]