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L’Enfant jazz et la Guerre

https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:124545 entry 1997 "L’Enfant jazz", un texte de Mohammed Dib, témoigne sur un mode littéraire de son enfance durant la guerre d’Indépendance algérienne. Ce recueil de poèmes composés de vers courts s’articule en trois parties dont la dernière est dédiée à la guerre. Dib évoque les débuts du conflit, le souvenir des balles, de la mort. Chaque planche calligraphiée par Abdelkader Boumala est accompagnée d’une lithographie de Koraïchi. <br /> Ce dernier ne montre pas l’horreur du conflit mais magnifie le verbe par le signe et l’écriture pour en souligner la poésie. Carrés ou rectangles juxtaposés harmonieusement sont divisés en petits cartouches ou en colonnes meublés de mots répétés à l’infini et de symboles empruntés au soufisme.<br /> L'oeuvre compte vingt-huit lithographies et vingt-huit planches de textes calligraphiés. KORAICHI Rachid ; BOUMALA Adelkader ; DIB Mohammed Arabe
1997
Type de ressource :
Œuvres et objets
Titre d'origine de l'oeuvre :
L’Enfant jazz et la Guerre
Dénomination :
portfolio
Auteur/Artiste :
KORAICHI Rachid (Aïn Beïda, 1947) : lithographe
BOUMALA Adelkader : calligraphe
DIB Mohammed (Tlemcen, 1920 ; La Celle-Saint-Cloud, 2003) : auteur
Lieu d'exécution :
Sidi Bou Said
Tunisie
Date d'exécution :
1997
Marques et inscriptions :
signature, "Rachid Koraichi" (en bas à gauche) ; signature (en bas à droite, Arabe) Traduction : "Rachid Al-Koraichi"
Langue de la ressource :
Arabe  
Matières et techniques :
lithographie, calligraphie ; papier de Rives (support)
Dimensions :
H. 13,7 cm, L. 93,9 cm (planche) ; H. 16 cm, L. 96,1 cm, E. 4,5 cm (coffret)
Numéro d'inventaire :
AC 97-12
Mode d'acquisition :
achat
Commentaire de l'oeuvre :
"L’Enfant jazz", un texte de Mohammed Dib, témoigne sur un mode littéraire de son enfance durant la guerre d’Indépendance algérienne. Ce recueil de poèmes composés de vers courts s’articule en trois parties dont la dernière est dédiée à la guerre. Dib évoque les débuts du conflit, le souvenir des balles, de la mort. Chaque planche calligraphiée par Abdelkader Boumala est accompagnée d’une lithographie de Koraïchi. <br /> Ce dernier ne montre pas l’horreur du conflit mais magnifie le verbe par le signe et l’écriture pour en souligner la poésie. Carrés ou rectangles juxtaposés harmonieusement sont divisés en petits cartouches ou en colonnes meublés de mots répétés à l’infini et de symboles empruntés au soufisme.<br /> L'oeuvre compte vingt-huit lithographies et vingt-huit planches de textes calligraphiés.
Droits de diffusion (copyright) :
©ADAGP/Philippe MAILLARD
Domaine :
Art contemporain
beaux-arts
estampe
Algérie