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Chants sacrés du Sahara ; Ahallil de Gourara = Sacred songs from the Sahara / ; Barka Foulani, dir. d'orch. ; Miloud Allaoui, Ahmed Benbarek, chant...[et al.].
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:70039audioRecording2000Indiqué sur la jaquette : Le Gourara, situé à 1200 km environ au sud d'Alger, compte une centaine d'oasis, peuplées de près de cinquante mille habitants. Timimoun est son chef-lieu. Trois ethnies se côtoient sur ce territoire : l'une d'origine soudanaise, l'autre d'origine arabe et celle des Zénètes. Ces derniers occupent la zone berbérophone, dans le centre et l'ouest de la région, et pratiquent" l'ahallil". Ce genre s'exécute de préférence après la tombée du jour, quand les contraintes du soleil et du désert cèdent la place à la douceur de la nuit. Alors, un groupe d'hommes se réunit en plein air et forme un cercle au milieu duquel se tiennet un poète et chanteur soliste, un flûtiste, un joueur de gumbri, des percussionnistes : tambour, pierres et mains. Tous, épaule contre épaule, répètent en choeur d'une voix grave, les complaintes aigues du soliste, faites de suppliques ainsi que de quête de pardon et de grâce.1 disque compact (66 min 12 s) : ; DDD. + ; 1 brochure (8 p.) : couv. ill. en coul.; 12 cm.EthnomusicologieGourara (Algérie)Foulani, BarkaFrançaisAnglaisMusicalesABES
1 disque compact (66 min 12 s) : ; DDD. + ; 1 brochure (8 p.) : couv. ill. en coul.; 12 cm.
Notes :
La brochure contient des photographies.
Résumé éditeur :
Indiqué sur la jaquette : Le Gourara, situé à 1200 km environ au sud d'Alger, compte une centaine d'oasis, peuplées de près de cinquante mille habitants. Timimoun est son chef-lieu. Trois ethnies se côtoient sur ce territoire : l'une d'origine soudanaise, l'autre d'origine arabe et celle des Zénètes. Ces derniers occupent la zone berbérophone, dans le centre et l'ouest de la région, et pratiquent" l'ahallil". Ce genre s'exécute de préférence après la tombée du jour, quand les contraintes du soleil et du désert cèdent la place à la douceur de la nuit. Alors, un groupe d'hommes se réunit en plein air et forme un cercle au milieu duquel se tiennet un poète et chanteur soliste, un flûtiste, un joueur de gumbri, des percussionnistes : tambour, pierres et mains. Tous, épaule contre épaule, répètent en choeur d'une voix grave, les complaintes aigues du soliste, faites de suppliques ainsi que de quête de pardon et de grâce.
