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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:69503film2013Indiqué sur la jaquette : Immense star du cinéma égyptien, Soad Hosni a tourné dans plus de quatre-vingts films, depuis sa rencontre avec Henri Barakat à la fin des années 1950. Son suicide en 2001 à Londres demeure inexpliqué : "Te souviens-tu ?", lui demande la réalisatrice Rania Stephan, par le biais de Nahed, l’un de ses personnages, comme pour recueillir d’outre-tombe la parole de la "Cendrillon" du cinéma arabe – ou son Aphrodite. Qu’est-ce qu’une filmographie dit de son actrice ? Quelles correspondances tisser entre une vie et une œuvre, sans verser dans la critique historique ou le sainte-beuvisme ? Le pari de Rania Stephan est osé : divisé en trois actes et un épilogue, "Les Trois Disparitions de Soad Hosni" est un formidable patchwork d’extraits de films, à l’exclusion, semble-t-il, de toute autre source (archives ou images d’actualités), dont la trame entend se superposer à la vie de l’actrice. Quoique : enfance et relation à ses parents, découverte de l’amour, tristesse et déceptions, les grandes catégories retenues par Stephan sont trop générales pour rien dire. Elle investit ainsi un terrain d’ambiguïté, structuré par la répétition et la variation, sans guider le spectateur ainsi laissé à son vertige : aussi, à défaut d’éléments biographiques précis, peut-on goûter à nouveau l’extraordinaire fascination suscitée par Soad Hosni – dans l’Egypte de Nasser, son érotisme ravageur et éminemment moderne.1 DVD (1 h 08 min) : ; coul. avec séquences n. et b. (PAL), sonore, surround (Dolby)CinémaDVDÉgypteFilms documentairesDVDÉgypteḤusnī, SuʿādDVDStephan, RaniaArabeImages de la culture. Cine?maABES
1 DVD (1 h 08 min) : ; coul. avec séquences n. et b. (PAL), sonore, surround (Dolby)
Notes :
Contient des extraits de films.. Cop. : RS-Joun films, 2011.. Document en version originale arabe sous-titrée en français.. Format image : 4/3.
Prix décerné :
FIDMarseille (Festival International de Cinéma), Marseille : Prix Renaud Victor, 2011
Résumé éditeur :
Indiqué sur la jaquette : Immense star du cinéma égyptien, Soad Hosni a tourné dans plus de quatre-vingts films, depuis sa rencontre avec Henri Barakat à la fin des années 1950. Son suicide en 2001 à Londres demeure inexpliqué : "Te souviens-tu ?", lui demande la réalisatrice Rania Stephan, par le biais de Nahed, l’un de ses personnages, comme pour recueillir d’outre-tombe la parole de la "Cendrillon" du cinéma arabe – ou son Aphrodite. Qu’est-ce qu’une filmographie dit de son actrice ? Quelles correspondances tisser entre une vie et une œuvre, sans verser dans la critique historique ou le sainte-beuvisme ? Le pari de Rania Stephan est osé : divisé en trois actes et un épilogue, "Les Trois Disparitions de Soad Hosni" est un formidable patchwork d’extraits de films, à l’exclusion, semble-t-il, de toute autre source (archives ou images d’actualités), dont la trame entend se superposer à la vie de l’actrice. Quoique : enfance et relation à ses parents, découverte de l’amour, tristesse et déceptions, les grandes catégories retenues par Stephan sont trop générales pour rien dire. Elle investit ainsi un terrain d’ambiguïté, structuré par la répétition et la variation, sans guider le spectateur ainsi laissé à son vertige : aussi, à défaut d’éléments biographiques précis, peut-on goûter à nouveau l’extraordinaire fascination suscitée par Soad Hosni – dans l’Egypte de Nasser, son érotisme ravageur et éminemment moderne.