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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:135558entry2017Le poète, soufi d’un nouveau genre
en quête de la poésie globale de
notre temps, trouve sa matière
en réinventant sa patrie dans un
nomadisme à l’horizon du monde.
Hors tout dogme, le rêve de
« verbe intégral » brise le miroir :
il en restitue les éclats par le
fragment qui transcrit le détail
capté par le corps sismographe
traversant les territoires des langues
d’Orient et d’Occident.
Ses échappées le conduisent vers
le lointain, de la Corée aux Caraïbes,
du Bengale à la côte ouest de
l’Amérique ; et sur une scène plus
proche, ses haltes enchaînent Tunis
à Berlin, Tanger à Paris, Madrid ou
Lisbonne au Caire, Alexandrie à Siwa,
Jérusalem à Istanbul. Le don reçu est
réorienté vers AYA, sujet d’amour,
qui est l’adresse du poème.
Le sens afflue par la physiologie
du sentiment, de la sensation et de l’émotion. Le poème dévore
d’infimes parcelles du coma cosmique. L’errant n’abdique pas.La nuit de la poésiePoésiepériode contemporainepériode contemporaineArabeFrançais
Le poète, soufi d’un nouveau genre
en quête de la poésie globale de
notre temps, trouve sa matière
en réinventant sa patrie dans un
nomadisme à l’horizon du monde.
Hors tout dogme, le rêve de
« verbe intégral » brise le miroir :
il en restitue les éclats par le
fragment qui transcrit le détail
capté par le corps sismographe
traversant les territoires des langues
d’Orient et d’Occident.
Ses échappées le conduisent vers
le lointain, de la Corée aux Caraïbes,
du Bengale à la côte ouest de
l’Amérique ; et sur une scène plus
proche, ses haltes enchaînent Tunis
à Berlin, Tanger à Paris, Madrid ou
Lisbonne au Caire, Alexandrie à Siwa,
Jérusalem à Istanbul. Le don reçu est
réorienté vers AYA, sujet d’amour,
qui est l’adresse du poème.
Le sens afflue par la physiologie
du sentiment, de la sensation et de l’émotion. Le poème dévore
d’infimes parcelles du coma cosmique. L’errant n’abdique pas.