La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:69872film2014Indiqué sur la jaquette : Nadine Naous a choisi de quitter le Liban pour la France après la Guerre civile, il y a plus de 20 ans. Elle y retourne aujourd’hui pour filmer ses parents, à l’heure où de sérieuses difficultés financières menacent l’école fondée par son père aux abords de Beyrouth. Drôle et grave, intime et politique, "Home Sweet Home" brosse le portrait d’une famille libanaise dans la tourmente, aussi bien que celui d’un pays sans cesse secoué par l’Histoire. Contrairement à sa fille, Mustapha Naous semble n’avoir jamais perdu la foi en l’avenir de son pays. Son école, qu’il avait voulue laïque, ouverte aux arts, aux sports et aux travaux manuels, a beau avoir enduré un demi-siècle de guerres, d’instabilité politique et de montée du fondamentalisme religieux pour se retrouver aujourd’hui au bord de la faillite, il ne baisse pas les bras. Avec tendresse, malice, et un peu d’inquiétude, la réalisatrice s’insinue dans le quotidien de ses parents, dialogue avec eux, essaie de comprendre la situation. Et s’attache surtout à déchiffrer le calme entêtement de son père, qui continue malgré tout à "croire aux miracles", quitte à s’en remettre au Loto ou à répandre du sel dans toute son école pour conjurer le mauvais sort. Quitte aussi à dissimuler quelque peu l’ampleur de ses dettes à ses proches. Avec, toujours, une conviction viscéralement ancrée : "Il faut rester debout et fort. Si tu es faible, tu es écrasé."1 DVD vidéo monoface toutes zones (59 min) : ; coul. (PAL), son.FamilleDVDLibanFilms documentairesDVDLibanPolitique et gouvernementLibanNaous, NadineNaous, NadineCentre national de la cinématographie [distrib.],ArabeImages de la culture. Sciences humaines & faits de socie?te?ABES
1 DVD vidéo monoface toutes zones (59 min) : ; coul. (PAL), son.
Notes :
Copyright : TS Productions ; Paris Brest Productions ; Umam Productions ; Vosges Télévision, 2014.. Version originale ; sous-titres en français.
Prix décerné :
États généraux du film documentaire, Lussas : Sélection Expériences du regard, 2014. Festival du Film de Famille, Saint Ouen : Prix du Public, 2015. Festival international du film francophone de Namur, Namur : Compétition longs métrages "Regards du présent, 2014. Filmer le Travail, Poitiers : Sélection Compétition internationale, 2015. Images en bibliothèques, Paris : Film soutenu par la Commission nationale de sélection des médiathèques, 2016. Scam, Paris (France) : Étoile de la Scam, 2016. Traces de Vies, Clermont-Ferrand : Prix Hors-frontières, 2014. Visions du réel, Nyon : Compétition internationale moyens métrages, 2014
Résumé éditeur :
Indiqué sur la jaquette : Nadine Naous a choisi de quitter le Liban pour la France après la Guerre civile, il y a plus de 20 ans. Elle y retourne aujourd’hui pour filmer ses parents, à l’heure où de sérieuses difficultés financières menacent l’école fondée par son père aux abords de Beyrouth. Drôle et grave, intime et politique, "Home Sweet Home" brosse le portrait d’une famille libanaise dans la tourmente, aussi bien que celui d’un pays sans cesse secoué par l’Histoire. Contrairement à sa fille, Mustapha Naous semble n’avoir jamais perdu la foi en l’avenir de son pays. Son école, qu’il avait voulue laïque, ouverte aux arts, aux sports et aux travaux manuels, a beau avoir enduré un demi-siècle de guerres, d’instabilité politique et de montée du fondamentalisme religieux pour se retrouver aujourd’hui au bord de la faillite, il ne baisse pas les bras. Avec tendresse, malice, et un peu d’inquiétude, la réalisatrice s’insinue dans le quotidien de ses parents, dialogue avec eux, essaie de comprendre la situation. Et s’attache surtout à déchiffrer le calme entêtement de son père, qui continue malgré tout à "croire aux miracles", quitte à s’en remettre au Loto ou à répandre du sel dans toute son école pour conjurer le mauvais sort. Quitte aussi à dissimuler quelque peu l’ampleur de ses dettes à ses proches. Avec, toujours, une conviction viscéralement ancrée : "Il faut rester debout et fort. Si tu es faible, tu es écrasé."