La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:122381book2017La dessinatrice Sarah Glidden emboîte le pas à deux de ses amis, reporters et créateurs d'un collectif de journalisme, dans leur quête de reportages potentiels sur les effets de la guerre d'Irak au Moyen-Orient et notamment sur les réfugiés qu'elle a créés. Le trio est accompagné par Dan, ami d'enfance et ancien Marine déployé en Irak, qui apporte un point de vue inattendu et parfois malvenu aux yeux de ceux qu'ils rencontrent - et peut-être, aussi, aux leurs. (source : quatrième de couverture).<br />
"Reportage dessiné au Moyen-Orient. À travers ce reportage, la dessinatrice Sarah Glidden accompagne deux amis journalistes et responsables d'une ONG dans une enquête sur les réfugiés au Moyen-Orient après la seconde guerre du Golfe. Avec ce trio, un ancien Marine engagé dans la région apporte un point de vue inattendu et bienvenu, sur eux-même et sur ceux qu'ils rencontrent. En Turquie, en Syrie et en Irak, ces observateurs rencontrent civils, réfugiés ou officiels : qu'il s'agisse d'un bloggeur irakien, d'un administrateur de l'ONU, d'un chauffeur de taxi, de réfugiés ou même de soldats américains, tous ont de passionnantes histoires à raconter.Sarah Glidden (Comment comprendre Israël en 60 jours (ou moins)) porte un regard à la fois méticuleux et empreint de sympathie sur les conséquences de ce conflit qui, aujourd'hui encore, continue de déchirer la région. Illustré tout en délicatesse par un trait léger et des couleurs à l'aquarelle, écrit avec respect et tendresse, Rolling Blackouts confirme Sarah Glidden comme l'une des grandes voix du reportage dessiné."1 volume (298 pages) : ; 28 cm. ; tout en illustrations en couleurs, couverture illustrée en couleurs. ;Dessinatrices de bandes dessinéesÉtats-UnisGuerre d'Irak (2003-2011)InfluenceJournalisme d'enquêteMoyen-OrientRéfugiés irakiensMoyen-OrientBandes dessinées de reportageMoyen-OrientComicsRomans graphiquesAuteurs juifsGlidden, SarahRenier, MarieFrançais1000 FeuillesABES
1 volume (298 pages) : ; 28 cm. ; tout en illustrations en couleurs, couverture illustrée en couleurs.
Résumé éditeur :
La dessinatrice Sarah Glidden emboîte le pas à deux de ses amis, reporters et créateurs d'un collectif de journalisme, dans leur quête de reportages potentiels sur les effets de la guerre d'Irak au Moyen-Orient et notamment sur les réfugiés qu'elle a créés. Le trio est accompagné par Dan, ami d'enfance et ancien Marine déployé en Irak, qui apporte un point de vue inattendu et parfois malvenu aux yeux de ceux qu'ils rencontrent - et peut-être, aussi, aux leurs. (source : quatrième de couverture).<br />
"Reportage dessiné au Moyen-Orient. À travers ce reportage, la dessinatrice Sarah Glidden accompagne deux amis journalistes et responsables d'une ONG dans une enquête sur les réfugiés au Moyen-Orient après la seconde guerre du Golfe. Avec ce trio, un ancien Marine engagé dans la région apporte un point de vue inattendu et bienvenu, sur eux-même et sur ceux qu'ils rencontrent. En Turquie, en Syrie et en Irak, ces observateurs rencontrent civils, réfugiés ou officiels : qu'il s'agisse d'un bloggeur irakien, d'un administrateur de l'ONU, d'un chauffeur de taxi, de réfugiés ou même de soldats américains, tous ont de passionnantes histoires à raconter.Sarah Glidden (Comment comprendre Israël en 60 jours (ou moins)) porte un regard à la fois méticuleux et empreint de sympathie sur les conséquences de ce conflit qui, aujourd'hui encore, continue de déchirer la région. Illustré tout en délicatesse par un trait léger et des couleurs à l'aquarelle, écrit avec respect et tendresse, Rolling Blackouts confirme Sarah Glidden comme l'une des grandes voix du reportage dessiné."
