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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:124353book2019La 4e de couv. indique : Octobre 1248, Ibn Baytar le plus réputé des pharmacologues et herboristes des hôpitaux du Caire s’apprête à se mettre en route pour regagner Damas où Saleh Ayoub, sultan d’Egypte et de Syrie, neveu de Saladin, doit séjourner. Le sultan malade est inquiet : les Mongols dévastent Bagdad et l’Occident lancent la IXe croisade. À Damas, il veut surtout confier à Setti Hasifa, connue sous le nom de « La botaniste de Damas », le Traité des Simples et des aliments, auquel il travaille depuis quarante ans et qui rassemble l’ensemble des connaissances en botanique et en pharmacologie du moment. À sa mort, Hasifa, désormais en possession de cet imposant ouvrage relié de cuir rouge, l’emporte à Venise dans l’exil de sa famille damascène chassée de Syrie par les hordes des Mongols. Étonnant destin que celui de ce Traité des Simples ! Emporté au Maghreb, puis, dans quelques bibliothèques d’Occident, il sera copié, étudié, traduit dans le monde entier et reste toujours l’ouvrage de référence pour tout travail de botanique, d’herboristerie et de pharmacologie.1 vol. (284 p.) : ; 19 cm. ; couv. ill. en coul. ;BotanistesRomanMoyen âgeMoyen-OrientMédecinsRomanMoyen âgeMoyen-OrientPharmacopée arabeRomanRoman historiqueMoyen-OrientRoman historique2000-....Ibn al-Bayṭār, ʿAbd Allâh ibn Aḥmad al-Mālaqī Abū MuḥammadRomanLafleuriel-Zakri, SimoneEncre d'OrientABES
La 4e de couv. indique : Octobre 1248, Ibn Baytar le plus réputé des pharmacologues et herboristes des hôpitaux du Caire s’apprête à se mettre en route pour regagner Damas où Saleh Ayoub, sultan d’Egypte et de Syrie, neveu de Saladin, doit séjourner. Le sultan malade est inquiet : les Mongols dévastent Bagdad et l’Occident lancent la IXe croisade. À Damas, il veut surtout confier à Setti Hasifa, connue sous le nom de « La botaniste de Damas », le Traité des Simples et des aliments, auquel il travaille depuis quarante ans et qui rassemble l’ensemble des connaissances en botanique et en pharmacologie du moment. À sa mort, Hasifa, désormais en possession de cet imposant ouvrage relié de cuir rouge, l’emporte à Venise dans l’exil de sa famille damascène chassée de Syrie par les hordes des Mongols. Étonnant destin que celui de ce Traité des Simples ! Emporté au Maghreb, puis, dans quelques bibliothèques d’Occident, il sera copié, étudié, traduit dans le monde entier et reste toujours l’ouvrage de référence pour tout travail de botanique, d’herboristerie et de pharmacologie.