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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:69927film2005Indiqué sur la jaquette : Epouse de Michel Seurat - l'orientaliste français pris en otage à Beyrouth par les miliciens islamistes et mort en captivité -, Marie Seurat nous convie à une réflexion très subjective, très critique, à l'occasion d'un voyage à Alep, sa ville natale, en compagnie de l'une de ses filles. Fille de chrétiens - son père était de confession syriaque -, elle connaît bien ce qu'engendrent les antagonismes religieux. "Ma mère hurlait et mon père hochait la tête. Moi, je vivais sur un damier avec l'impression d'être sur la mauvaise case." La jeune fille choisit l'"arabité du père" contre la volonté d'une mère qui voulait faire d'elle "une petite Française bon teint". Aujourd'hui, l'"arabité" d'Alep paraît "totale" à l'enfant de jadis, tiraillée entre islam et christianisme. Et de partir sur les traces de la ville quittée quelque quarante ans plus tôt : le quartier chrétien, la maison de la mère et de la grand-mère, l'école religieuse, l'emplacement des églises détruites, l'usine du père réquisitionnée par l'Etat syrien socialiste... Se mettant en scène devant la caméra (image de Caroline Champetier), et pour faire suite à son livre "Salons, coton, révolution", Marie Seurat dresse là un inventaire âpre, souvent amer, où se mêle aussi un questionnement sur le "poids du passé" et une crainte, pour ses filles, des pièges séduisants de "cet Orient de rêve" fatal à leur père.1 DVD zone 2 (45 min) : ; coul., séquences en n. et b., (PAL), sonore.Chrétiens syriaquesDVDAlep (Syrie)Films documentairesDVDSyrieAlep (Syrie)Alep (Syrie)Seurat, MarieDVDSeurat, MarieChampetier, CarolineSeurat, MarieCentre National de la cinématographie, Images de la culture [éd., distrib.],FrançaisABES
1 DVD zone 2 (45 min) : ; coul., séquences en n. et b., (PAL), sonore.
Notes :
Cop. MP productions, La Sept-Arte, 1998.. D'après : Salons, coton , révolutions de Marie Seurat.. Edité en 2005 d'après la date de réception du document.. La jaquette porte : "Sciences humaines & faits de société"'
Résumé éditeur :
Indiqué sur la jaquette : Epouse de Michel Seurat - l'orientaliste français pris en otage à Beyrouth par les miliciens islamistes et mort en captivité -, Marie Seurat nous convie à une réflexion très subjective, très critique, à l'occasion d'un voyage à Alep, sa ville natale, en compagnie de l'une de ses filles. Fille de chrétiens - son père était de confession syriaque -, elle connaît bien ce qu'engendrent les antagonismes religieux. "Ma mère hurlait et mon père hochait la tête. Moi, je vivais sur un damier avec l'impression d'être sur la mauvaise case." La jeune fille choisit l'"arabité du père" contre la volonté d'une mère qui voulait faire d'elle "une petite Française bon teint". Aujourd'hui, l'"arabité" d'Alep paraît "totale" à l'enfant de jadis, tiraillée entre islam et christianisme. Et de partir sur les traces de la ville quittée quelque quarante ans plus tôt : le quartier chrétien, la maison de la mère et de la grand-mère, l'école religieuse, l'emplacement des églises détruites, l'usine du père réquisitionnée par l'Etat syrien socialiste... Se mettant en scène devant la caméra (image de Caroline Champetier), et pour faire suite à son livre "Salons, coton, révolution", Marie Seurat dresse là un inventaire âpre, souvent amer, où se mêle aussi un questionnement sur le "poids du passé" et une crainte, pour ses filles, des pièges séduisants de "cet Orient de rêve" fatal à leur père.