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https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:125606film2017Jacqueline Gozlan - qui a quitté l'Algérie avec ses parents en 1961 - retrace avec nostalgie l’histoire de la Cinémathèque d’Alger, indissociable de celle de l’Indépendance du pays, à travers des extraits de films et de nombreux témoignages ; notamment celui de l’un de ses créateurs, Jean-Michel Arnold, mais aussi de cinéastes tel Merzak Allouache et de critiques tel Jean Douchet. Lieu de vie pour les Algérois, la Cinémathèque fut la plaque tournante des cinémas d’Afrique. Créée en 1965 par Ahmed Hocine, Mahieddine Moussaoui et Jean-Michel Arnold, la Cinémathèque profite de l’effervescence de l’Indépendance. Tout semble alors possible, et Arnold, disciple de Langlois, propose des rétrospectives complètes et fait venir réalisateurs et critiques. La Cinémathèque devient un lieu de rencontres pour la société algéroise, les futurs cinéastes y trouvent leur meilleure école. En 1969, le Festival Panafricain d’Alger réunit tous les cinéastes d’Afrique, et à partir de 1970, Boudjemâa Kareche développe une collection de films arabes et africains. La Cinémathèque rend compte de la vivacité d’un cinéma algérien qui questionne son époque, de l’émancipation des femmes dans Le Charbonnier de Mohamed Bouamari (1973), au désœuvrement des jeunes hommes dans Omar Gatlato de Merzak Allouache (1976). Dans les années 1990, les attentats touchent les lieux culturels et la peur sonne le glas de la liberté : la Cinémathèque périclite, et avec elle tout le cinéma algérien. (Martin Drouot) [source : jaquette]1 DVD vidéo (77 min) : ; coul., sonore.CinémaFilms documentaires1945-....AlgérieFilms documentairesGozland, JacquelineGozland, JacquelineFrançaisImages de la culture. histoire du cine?maABES
Jacqueline Gozlan - qui a quitté l'Algérie avec ses parents en 1961 - retrace avec nostalgie l’histoire de la Cinémathèque d’Alger, indissociable de celle de l’Indépendance du pays, à travers des extraits de films et de nombreux témoignages ; notamment celui de l’un de ses créateurs, Jean-Michel Arnold, mais aussi de cinéastes tel Merzak Allouache et de critiques tel Jean Douchet. Lieu de vie pour les Algérois, la Cinémathèque fut la plaque tournante des cinémas d’Afrique. Créée en 1965 par Ahmed Hocine, Mahieddine Moussaoui et Jean-Michel Arnold, la Cinémathèque profite de l’effervescence de l’Indépendance. Tout semble alors possible, et Arnold, disciple de Langlois, propose des rétrospectives complètes et fait venir réalisateurs et critiques. La Cinémathèque devient un lieu de rencontres pour la société algéroise, les futurs cinéastes y trouvent leur meilleure école. En 1969, le Festival Panafricain d’Alger réunit tous les cinéastes d’Afrique, et à partir de 1970, Boudjemâa Kareche développe une collection de films arabes et africains. La Cinémathèque rend compte de la vivacité d’un cinéma algérien qui questionne son époque, de l’émancipation des femmes dans Le Charbonnier de Mohamed Bouamari (1973), au désœuvrement des jeunes hommes dans Omar Gatlato de Merzak Allouache (1976). Dans les années 1990, les attentats touchent les lieux culturels et la peur sonne le glas de la liberté : la Cinémathèque périclite, et avec elle tout le cinéma algérien. (Martin Drouot) [source : jaquette]