La demande d'image HD porte sur l'image en cours de consultation. Vous recevrez dans votre boîte e-mail (adresse {MAIL_USER}) un message contenant un lien de téléchargement de l'image souhaitée.
Nous vous rappelons que si l'usage privé de ces images est permis, toute reproduction ou représentation du contenu de cette base dans le cadre de communication, d'édition ou autres actions à caractère professionnel doit faire l'objet d'une autorisation expresse des auteurs ou ayant droits des œuvres. Si vous êtes dans ce cas, merci de nous contacter.
https://altair.imarabe.org//notice.php?q=id:424entry2017A la croisée des cultures arabes, berbères et africaines et des musiques populaire et savante et de l'improvisation, les riches mélodies de l'ensemble Marzoug, que dirigeait naguère le regretté maître ès cornemuse Djelloul Soudani, revitalisent un chant dédié à l'amour ou au culte traditionnel du saint protecteur. Parfois en gamme pentatonique, elles sonnent comme un appel du désert, leur impressionnant relief musical étant à rechercher dans l'usage d'instruments traditionnels pour certains insolites : la cornemuse chekwa à six trous (typique de Biskra ; la cornemuse tunisienne n'en compte que cinq), les crotales métalliques qarqabou, le tambour à doubles membranes tabla.Avec cette nouvelle création, Camel Zekri, guitariste, compositeur et directeur artistique reconnu, continue à développer l'héritage musical de Biskra. Il réunit les plus grands cornemuseurs d'Algérie, membres de deux grandes familles de musiciens de la ville de Biskra et issues de ses deux plus anciens quartiers : la Zmala et l'Alia, celui de la famille Marzouk.<br />
<br />
13 janvier 2017 <br />
Institut du monde arabe - Parischekwamusiquemusique traditionnelleAlgérie, BiskraCamel ZEKRIFrançaisRAZUNA
A la croisée des cultures arabes, berbères et africaines et des musiques populaire et savante et de l'improvisation, les riches mélodies de l'ensemble Marzoug, que dirigeait naguère le regretté maître ès cornemuse Djelloul Soudani, revitalisent un chant dédié à l'amour ou au culte traditionnel du saint protecteur. Parfois en gamme pentatonique, elles sonnent comme un appel du désert, leur impressionnant relief musical étant à rechercher dans l'usage d'instruments traditionnels pour certains insolites : la cornemuse chekwa à six trous (typique de Biskra ; la cornemuse tunisienne n'en compte que cinq), les crotales métalliques qarqabou, le tambour à doubles membranes tabla.Avec cette nouvelle création, Camel Zekri, guitariste, compositeur et directeur artistique reconnu, continue à développer l'héritage musical de Biskra. Il réunit les plus grands cornemuseurs d'Algérie, membres de deux grandes familles de musiciens de la ville de Biskra et issues de ses deux plus anciens quartiers : la Zmala et l'Alia, celui de la famille Marzouk.<br />
<br />
13 janvier 2017 <br />
Institut du monde arabe - Paris